« Je manque de confiance en moi… »

« Je manque de confiance en moi… »

Developpez votre assurance ! 

« Je manque de confiance en moi… »

« Aaaah… si seulement j’avais plus confiance en moi… »

Qui n’a pas un jour prononcé ces mots?

Qui n’a pas eu cette boule au ventre ou la gorge nouée à l’idée de devoir parler devant des inconnus ? Qui n’est pas devenu rouge comme une tomate à la moindre émotion en public ? Qui n’a pas manqué une opportunité en n’osant simplement pas sauter le pas au bon moment ? Qui n’a pas pensé ce genre de chose : ils vont me juger, je ne vais pas lui plaire, je suis nul(le) / moche / bête…, je n’ai rien d’intéressant à dire…

La majorité d’entre nous a un jour été confrontée à ce genre de pensées, plus ou moins sévères.

Trop souvent, ce manque de confiance est assimilé à de la timidité alors qu’il peut s’agir de l’idée que l’on se fait de nos capacités à affronter une situation particulière. Et on a bien souvent tendance à mettre la barre trop haut. Comme si nous devions avoir les compétences pour faire face à toutes les situations. Des super héros quoi !

Et les conséquences sont variées, allant d’un comportement hésitant (parfois pris à tord pour de l’arrogance ou manque d’intérêt) à de la dévalorisation ou de la victimisation.

Alors bonne nouvelle : non seulement on a le droit de se sentir un peu déstabilisé face à une situation nouvelle ou hors zone de confort, mais en plus l’assurance ça se développe 🙂

Mais c’est quoi avoir confiance en soi ?

Définition de la confiance en soi: croire en son potentiel et ses capacités. 

Si la définition est plutôt simple et générale, son application au quotidien n’est pas forcément la même pour tous.

Pour certain, avoir confiance c’est s’affirmer, oser dire NON ! (ou *#@** à son boss!), pour d’autres c’est prendre la parole en public avec assurance, savoir présenter clairement ses idées et convictions, ou encore oser être soi-même, se détacher du regards des autres, porter enfin cette robe rouge pour sortir en journée, parler avec des inconnus sans cette peur d’avoir l’air bête et se faire de nouveaux amis, ou peut être oser enfin parler à ce beau brun (ou belle brune) que vous croisez chaque jour dans le metro… à chacun d’utiliser son potentiel comme bon lui semble! 🙂

Vous voulez déjà un exercice pour commencer les changements et améliorer votre confiance ? 

C’est parti! 🙂
Si vous pensez que vous manquez de confiance en vous,  l’exercice du jour est de repérer toutes ces fois où vous êtes particulièrement sévère avec vous même, et vous dévaloriser :

« Tu es vraiment trop nulle, trop bête, trop moche… »

Pour les identifier plus facilement, demandez-vous si vous diriez la même chose à un(e) ami(e) ou proche dans une situation similaire.
Pourquoi ne seriez-vous pas aussi bienveillant avec vous-même qu’avec un proche ?

Et maintenant, inversez la tendance ! Stop aux blâmes et félicitez-vous chaque fois que vous faites quelque chose de bien.
Et pas de fausses excuses !!! On fait tous des choses bien ! Et oui, réussir un bon gâteau ou une mayonnaise ça mérite des félicitations. Pareil pour ce dossier bouclé dans les temps, ce client satisfait grâce à vous, ou encore ce sourire sur les lèvres de vos enfants après une activité que vous avez lancée…

Vous méritez de vous féliciter et de vous trouver vraiment bien !

Et on commence… maintenant !!!

Envie de dévélopper votre assurance et de vous affirmer ? 

Volonté de mieux gérer vos émotions ? C’est possible grâce à des techniques simples et efficaces de PNL, coaching et hypnose.

  • Le coaching permet de rapidement identifier la solution la plus simple, efficace et appropriée à mettre en place, et de changer votre perception du problème.
  • Avec la PNL, vous avez rapidement des outils simples en main pour adapter facilement votre communication pour aller vers les autres, développer vos relations, modifier vos comportements.
  • Enfin l’hypnose vous aide à dénouer les blocages et à développer les précieuses compétences inexplorées que vous avez déjà en vous. Bref, tout ça pour vous permettre de mettre en place des stratégies naturelles et simples, et voir rapidement les changements dans votre vie.

Alors soyez remarquable, osez, affirmez-vous !

Alors contacter moi pour un premier entretien offert et discutons de votre nouvel objectif !
Je me réjouis de vous rencontrer !

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« Il ne fait jamais attention à moi ! S’il m’aimait vraiment… »

« Il ne fait jamais attention à moi ! S’il m’aimait vraiment… »

Brève de couple #1

« Il ne fait jamais attention à moi ! S’il m’aimait vraiment… »

Après une journée de travail bien stressante (une de plus), suivie d’une course contre la montre pour récupérer à temps les enfants à l’école, et de diverses réjouissances comme des embouteillages, surveiller les devoirs, sortir le chien, lancer une lessive… Marie prépare le dîner pour sa petite famille. Elle est tendue, fatiguée, débordée.

Laurent, son époux, est rentré depuis 20 minutes. Confortablement installé dans son fauteuil il jette un oeil au courier du jour et consulte l’actualité sur son smartphone. Ces activités lui permettent de se sortir de sa tête les dossiers professionnels en cours pour être pleinement en repos dans son doux foyer.

Marie n’est pas bien et des pensées commencent à l’envahir:

« Bien sûr, une fois de plus, il ne vient pas m’aider et je suis encore la seule à m’occuper de NOTRE famille! J’ai eu une journée difficile et il ne voit même pas que j’ai besoin de son attention. S’il m’aimait vraiment il le verrait et il viendrait me proposer de l’aide, ou juste me serrer dans ses bras. Je fais toujours tout pour tout le monde ici et en retour j’ai quoi moi? C’est toujours à sens unique! »

(Veillez noter les termes généralisateurs qui donnent du poids à ce discours déprimant).

 

Je vous laisse imaginer la suite de la soirée si Marie reste sur cet état d’esprit.
Dans les différents scenarios possibles: soupe à la grimace, attitude froide ou agressive envers ses proches qu’elle aime pourtant si fort, et sous le coup de la colère elle va peut être même dire quelque chose de blessant à Laurent, ou jeter le plat de pâtes par la fenêtre! Ou simplement ne pas décrocher un mot de la soirée.

Au final Marie va surtout se faire du mal en ressassant des pensées très négatives voire graves, comme « je ne suis pas aimée ». Elle va peut être pleurer et se persuader que son mariage bat de l’aile. En continuant ce mécanisme de pensées au quotidien, Marie risque d’être vraiment malheureuse dans sa vie, malgré une belle petite famille, des enfants adorables et un mari aimant.

Comment éviter ça ?

En stoppant la boucle d’émotion négative dès son début en exprimant son besoin. 

Marie est fatiguée, elle a besoin de réconfort et de se sentir aimée et soutenue? Il lui suffit d’exprimer ce besoin. Car à moins d’avoir épousé un medium/devin (on sait jamais), son mari ne peut pas deviner ce qui se passe dans sa tête ! Nous ne sommes – pas encore – équipés d’un écran frontal indiquant nos pensées et désirs (ce qui simplifierait les relations mais serait aussi dangereux selon le type de pensées qui s’afficheraient !).
Pourquoi Laurent, sous prétexte d’être amoureux de sa femme, devrait deviner ses moindres désirs?
Il a peut être même bien ressenti qu’elle était tendue et a trouvé plus judicieux de la laisser se détendre seule dans la cuisine sans venir en plus trainer dans ses jambes alors qu’elle a tant à faire. D’ailleurs il admire sa capacité d’organisation.

Marie pourrait simplement dire:

«Laurent, j’ai eu une journée difficile, et ce qui me ferait le plus grand bien, si tu y es disposé, serait que tu me serres dans tes bras»

Laurent apprécie d’être l’homme réconfortant qui soutient son épouse (et n’a plus à chercher désespérément le mode d’emploi de la femme), Marie reçoit l’affection et l’attention dont elle a besoin, et la famille passe une agréable soirée et décompresse de cette journée.

Happy End!

C’est une des solutions simples possibles. Si on y prête attention, un nombre incroyable de jeux relationnels comme celui-ci viennent compliquer la communication entre conjoints et membres d’une famille.

Si chacun exprime ses besoins et écoute l’autre avec bienveillance dans le couple, c’est déjà un jeu relationnel de moins à subir/gérer/traiter.

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A quoi reconnaît-on un adulte surdoué ?

A quoi reconnaît-on un adulte surdoué ?

L’adulte surdoué

A quoi reconnaît-on un adulte surdoué ?

On les nomme doués, surdoués, haut potentiels (HP), hauts ou très hauts quotient intellectuel (HQI ou THQI), zèbres (terme proposé par Jeanne Siaud-Facchin, mon préféré), surefficients, génies, intellectuellement précoces … il s’agit des personnes dotées d’un développement intellectuel supérieur à la moyenne (d’après la définition du dictionnaire) et ayant un QI supérieur à 130.

Il est impossible de donner une description du surdoué type tant chaque individu est différent.

Toutefois, quelques caractéristiques communes et signes extérieurs peuvent être listés :

  • Curiosité et envie d’apprendre, besoin de comprendre, pose souvent beaucoup de questions, souvent autodidacte, capacité de mémorisation importante
  • Bonne facultés d’apprentissage, apprend et comprend vite, compréhension globale et synthétique
  • Perfectionnisme, exigence envers lui-même, d’où parfois une certaine lenteur à exécuter des tâches qui paraissent simples ou un manque de confiance en soi (se met la barre trop haute)
  • Intérêt et passion, parfois obsessionnel, pour certains sujets qui peuvent changer rapidement.
  • Hypersensibilité, visible ou non de l’extérieur, sens de la justice très développé (envers soi ou les autres)
  • Sang-froid dans les situations d’urgence, évaluation synthétique de la situation
  • Altruisme, besoin intime d’aider les autres
  • Tempérament solitaire, tendance à somatiser face aux incompréhensions et aux difficultés
  • Langage soutenu, expression aisée, vocabulaire riche et varié
  • Supporte difficilement l’échec
  • Maturité intellectuelle supérieure à celle des personnes de son âge
  • Affectivité et/ou développement psychomoteur parfois en décalage avec la maturité intellectuelle
  • Sens de l’humour (notamment l’ironie)
  • Sensibilité à l’harmonie (musique, esthétique)
  • Grande capacité d’observation, note les plus petits détails.
  • Hyperesthésie ou exacerbation des cinq sens (hyperréactif aux stimuli sensoriels)
  • Difficulté à prendre des décisions quand le problème ne peut être résolu uniquement par la logique (ex: problème sentimental, émotionnel)
  • Pensée en arborescence, ses idées déclinent en une multitude d’autres idées en provenance d’un point commun entre elles, créant une pensée riche mais au-delà de la concentration
  • Cerveau qui «tourne» en permanence, questionnements sans limite, incapacité à trouver le bouton « Off »
  • Suradaptation

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